Selon Julianne Holt-Lunstad de Brigham Young University, alors que les individus sont confrontés à cette pandémie mondiale et se distancient physiquement des autres, sa plus grande préoccupation de est qu'avec cette pandémie, il y aura un plus grand sentiment de déconnexion sociale que jamais auparavant.
Selon la chercheurs, si nous ne changeons pas cette trajectoire, nous aurons des problèmes de santé émergents au-delà de cette pandémie. Elle a étudié les voies biologiques qui aident à expliquer comment nos relations influencent la santé sociale physique ainsi que les effets à long terme sur la santé d'une connexion plus ou moins sociale.
Sa recherche a inclus des données de plus de 3,4 millions de participants dans le monde et examine les effets de l'isolement social, de la solitude et de la vie seule sur le risque de mortalité prématurée. Elle a découvert que la solitude augmente le risque de décès prématuré de 26%, l'isolement social de 29% et la vie seule de 32%.
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