L'étude, menée par l'University of York, le Hull York Medical School and Barts Cancer Institute ains que le Queen Mary University of London révèle une astuce que les cellules saines utilisent pour empêcher la suppression indue de la réponse immunitaire qui pourrait améliorer l'utilisation et la gestion des immunothérapies anticancéreuses.
En effet, le système immunitaire a un potentiel pour éliminer les cellules précancéreuses ou cancéreuses. Cependant, souvent, les cellules cancéreuses développent la capacité
d'émettre des signaux «off» aux cellules immunitaires et les trompent
dans l'apathie selon les chercheurs, tels que publiés dans le Journal of Biological Chemistry. Ces signaux «off» sont appelés «checkpoints immunitaires». Au cours des années, la méthode concernant le traitement ducancer a été transformée en développant des médicaments qui tentent
d'arrêter ces signaux et de réveiller le système immunitaire, comme le rapportent les chercheurs. Leur recherche s'est concentrée sur le PDL1, une protéine de «point de
contrôle immunitaire» et une cible importante des immunothérapies contre
le cancer.
Selon les chercheurs, ces points de contrôle immunitaire existent naturellement dans le corps pour empêcher les cellules
immunitaires des réponses immunitaires qui seraient prolongées ou inutilesPlutôt que d'explorer de quelle manière les
points de contrôle immunitaire sont contrôlés dans les cellules
cancéreuses, les chercheurs ont voulu comprendre comment la
protéine de contrôle immunitaire PDL1 est contrôlée dans les cellules
normales non cancéreuses.
En comprenant la biologie normale de cette cible médicamenteuse
importante, les chercheurs espéraient acquérir de nouvelles
connaissances sur les façons de «recâbler» les cellules cancéreuses
d'une manière qui les rendrait vulnérables aux attaques immunitaires. En voulant découvrir les mécanismes supprimant les niveaux de PDL1 dans les cellules
saines, les chercheurs ont découvert que miR-155, une biomolécule
minuscule d'une famille de gènes appelés microARN, vérifiait les niveaux
de PDL1. Selon les chercheurs, cette découverte ouvre la voie à des traitements anticancéreux plus efficaces, notamment le cancer du poumon et du pancréas.
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